Un cœur froid et glacial, dur comme l’acier, un cœur emprisonné dans un corps pratiquement sans vie, il n’y à aucune harmonie entre les deux, ils fonctionnent juste pour vivre des instants misérables, un cœur qui bat pour qu’un esprit absent puisse diriger un corps vide, jour après jour une vie qui se consomme doucement , en avançant vers un futur incertain, ne rien attendre de cette vie au goût âcre d’amertume, ne plus rien choisir, les jours n’n'ont plus de saveur, des espoirs en péril , on est juste perdu ! 
Oui, comme perdu dans un océan infini et sentir encore la solitude,
on entend ce pauvre cœur qui bat de plus en plus fort, la peau frissonne par la peur qui s’installe, un silence mortel qui envahit l’univers, on peut rien faire , on est perdu, plus la peine d’espérer, plus la peine de regretter, plus la peine de vivre, on sent le froid qui commence a nous paralysé , et doucement le corps commence a lâché, on regarde vers le ciel, grisâtre et brumeux, même le ciel est triste !
Le regard est vide, le visage jaunâtre, plus d’expressions, le vent souffle, la mer s’agite, et les requins commence a rodé autour de moi, c’est similaire à la vie où les gens sont comme ces requins affamés, ils surveillent leur proie au moindre signe de faiblesse pour l’attaquer, le faire du mal !
O
n se dit, même la nature est contre nous, mon dieu…c’est vraiment la fin ?! à ce moment là, j'entends des rires…des cries…des souvenirs...Non, j'entends pleurer…j'entends souffrir…on pense aux personnes qui on vraiment compter pour nous, quelques flashs de souvenirs qui défilent devant nos yeux, à dieu maman…la flamme de mon cœur, à dieu papa…l’âme de mon corps… à dieu mes frères et sœurs la joie de ma vie…à dieu mes amies …à dieu….hélas je n’espère plus à cette vie…je n’est plus envie de vivre...mon cœur n’a plus aucune raison de battre…un corps perdu qui ne demande plus de vivre…
puis une petite larme commence a coulé, elle est douce, chaude, pure, en 
faite elle est une flamme de souffrance, elle exprime la tristesse du corps, une larme de désespoir, du vide, de malheur, de l’abandon, puis on se laisse submerger dans les eaux froid de l’océan, y à il un espoir ? Le corps se livre au dernier combat, il veut vivre, le cœur continu désespérément à battre, ils veulent vivre encore mais l’âme est condamnée d’avance, l’esprit a déjà abandonné…âme perdu…perdu…corps exténué, il ne peut plus lutter, un dernier soupir…puis…doucement…le silence s’est posé
Une b
elle silhouette perdue bercée par les vagues de l’océan, caressée par le vent, le cœur s’échappe de son exile et fuit un corps blessé par la vie, corps sans âme, malheureuse âme qui ne désirait plus vivre dans un corps qui la abandonné…une page qui se tourne, une vie qui s’efface, une flamme qui s’éteint, corps ignoré dans les pénombres de l'oubli.
La mer a tout pris, comme une inlassable marrée dont la vague sur la grève laisse des traces, trop vite effacé par la vague suivante…c’est la vie !
